vendredi 5 décembre 2008

Jamais tranquille

Besoin d'air, de calme, de vacances, petite escapade en Amérique du sud, je suis arrivée enfin jusqu'Ushuaia en traversant le détroit de Magellan, la terre de feu et me voilà dans capitale mythique du bout du monde [...] Je remonte au nord en bus et prends un bateau pendant 500 kms à travers les canaux de Patagonie; [...] paysage magnifique, on y croise juste quelques phoques et baleines [...] Arrivée ensuite a Puerto Montt pour continuer vers le volcan d'Osorno et la région des lacs. Le lendemain a Punta Arena je prends le bac pour traverser le détroit de Magellan, le paysage est plat, avec des estancias, grandes fermes chiliennes, ces grandes étendues ont quelque chose de magique, et même s'il n y a rien à l'horizon, il y a toujours un arbre, un cheval ou un aigle un guanaco (un lama) à regarder, ralala je respire [...] je continue à descendre la nationale vers le sud après une nuit sous la tente, la route est assez monotone, 7h30 du matin, la lune brille encore, et là, au milieu du désert, un vieil homme m'arrête…et me dit :



Et j'ai répondu "oui", bêtement.
Pfff, on n'est jamais tranquille !

jeudi 27 novembre 2008

OUPS

Ze me me demande si je ne me suis pas malencontreusement assis sur le post du 26 novembre ?

dimanche 23 novembre 2008

Je n'y crois pas trop mais l'avenir nous le dira

Vous allez partir très bientôt en vacances...à la fin de l'année... pour de longs mois...de très longs mois qui seront un véritable enfer pour vos fans.

Vous tenterez un come-back au printemps 2010...mais OOOOh je vois un grand échec....OOOh...

HAAAA votre vrai retour, celui qui vous mènera à la gloire, vous le ferez en février 2012, ...je crois voir le 25 ou le 26.

Voilà, ça fait 250 euros.

samedi 22 novembre 2008

L'invitation (de Oriah Mountain Dreamer)


Merci de m’envoyer votre réponse avant 17 heures,
que je puisse avoir le temps de faire les courses.


"
Je ne veux pas savoir ce que vous faites dans la vie. Je veux seulement connaître vos désirs, savoir si vous avez assez d'audace pour imaginer la réalisation de vos rêves les plus chers.

Je ne veux pas savoir quel âge vous avez. Je veux savoir si vous oserez vous rendre ridicule au nom de l'amour, d'un rêve ou de l'aventure de la vie.

Je ne veux pas savoir quelles planètes vous influencent. Je veux savoir si vous avez touché le centre de votre propre douleur, si les trahisons de la vie vous ont permis de vous ouvrir, ou si la peur de souffrir encore vous a fait vous refermer sur vous-même.

Je veux savoir si vous pouvez regarder la souffrance en face, la mienne ou la vôtre, sans essayer de la cacher, de l'atténuer ou de la nier.

Je veux savoir si vous pouvez laisser la joie vous habiter, la mienne ou la vôtre, si vous pouvez danser de bonheur et vous laisser remplir d'extase jusqu'au bout des doigts et des orteils, sans faire appel à la prudence, au réalisme, sans appeler les limites de la condition humaine.

Je ne veux pas savoir si l'histoire que vous me racontez est vraie. Je veux savoir si vous seriez capable de décevoir une personne pour rester fidèle à vous-même; si vous pouvez faire face à des accusations de trahison sans vous trahir vous-même.

Je veux savoir si vous pouvez être infidèle et ainsi digne de confiance.

Je veux savoir si vous êtes capable de saisir la beauté du quotidien, même quand tout n'est pas joli, et si vous pouvez nourrir votre vie de sa présence.

Je veux savoir si vous pouvez vivre malgré l'échec, le mien ou le vôtre, et tout de même vous tenir sur le rivage du lac et crier aux reflets argentés de la pleine lune: «Oui!»

Je ne veux pas savoir où vous vivez, ni combien d'argent vous avez. Je veux savoir si vous pouvez vous lever, malgré votre fatigue et votre douleur profonde, et faire ce qu'il faut pour nourrir les enfants.

Je ne veux pas savoir qui vous connaissez, ni comment vous avez fait pour arriver ici. Je veux savoir si vous resterez au centre du feu avec moi, sans reculer.

Je ne veux pas savoir ce que vous avez étudié, ni où, ni avec qui. Je veux savoir ce qui vous nourrit de l'intérieur, quand tout le reste s'évanouit.

Je veux savoir si vous pouvez être seul avec vous-même et si vous aimez vraiment la personne qui vous tient compagnie dans vos moments de solitude."



Oriah Mountain Dreamer

vendredi 21 novembre 2008

Glossaire de blog (2)

La Postcrastination, c'est une maladie du bloggeur qui consiste à toujours remettre l'écriture d'un billet au lendemain.





moi ze publie toujours la veille les billets que
j'écrirai le lendemain, comme ça je suis sûre
de ne pas attraper la maladie..

Glossaire de blog

Un un posteur, c'est quelqu'un qui qui écrit un un post à vovotre place

jeudi 20 novembre 2008

dimanche 16 novembre 2008

A y est, tout est résolu (enfin presque)


Puisqu'il parait qu'il n'y a pas de problème il n'y a que des solutions, j'ai entrepris de chercher les solutions à ce problème qui n'existe pas.



Et bien, je ne les ai jamais trouvés ! Ce qui me laisserait vaguement penser qu'il n'existe pas non plus de solutions aux problèmes inexistants, le problème étant de rester très vigilant à ne pas s'en faire un problème (ne soyons pas idiot non plus !)


Je me demande si la solution, ce ne serait pas de trouver dès le départ un premier problème ce qui permettrait sans doute de trouver la solution à celui-ci et au moins, ça ne créerait pas de problème supplémentaire, voyez-vous ?


La vie serait simple, cette équation : un problème = une solution me semble soudainement très apaisante...voire même d'une trivialité déconcertante !


Maintenant qu'on a la solution, le problème est juste qu'il va falloir trouver quel est ce premier problème qu'on va devoir s'inventer, et là ffff je n'ai pas du tout d'idée !



samedi 15 novembre 2008

Post du futur

Je viens d'intercepter par inadvertance un post du 28 février 2028 ? je pense qu'il ne s'agit que d'une petite erreur d'interférence entre l'adresse IP de mon hébergeur de blog et celle Pierre Boulle, ne paniquons pas.








mais, méfions-nous quand même un peu.

Bon voila, ça, c'est dit.

vendredi 14 novembre 2008

dimanche 9 novembre 2008

Réouverture du blog

Ce matin mon blog a été temporairement fermé car il était tout vert. Je l'ai trouvé comme ça en me levant et j'ai passé la matinée entière à le nettoyer, comme si je n'avais que ça à faire de mon dimanche matin ! Je ne sais pas quel est le petit galapiat qui a fait cette mauvaise plaisanterie mais je préviens tous les internautes polissons que vous êtes que je ne suis pas loin de brancher ma webcam en permanence et que je connais très bien quelqu'un qui connaît quelqu'un qui connaît quelqu'un qui est avocat.


vendredi 7 novembre 2008

Marcel

"Le véritable voyage n'est pas d'aller vers d'autres paysages, mais d'avoir d'autres yeux."

Marcel Proust




lundi 3 novembre 2008

dimanche 2 novembre 2008

Post imbriqué

C'était bien ton idée d'aller aux champignons mais j'en n'ai pas vu un seul
















- ils ont peut être été bouffés par les termites ?

samedi 1 novembre 2008

vendredi 31 octobre 2008

Actualité brûlante

D'après notre envoyé très spécial, les suites de la catastrophe du 28 octobre dernier sont conséquentes : le monde entier a été touché, les politiciens sont mobilisés, l'économie mondiale est bouleversée. Sans doute un nouveau levier pour la crise ? Nous l'espérons.

mardi 28 octobre 2008

On a eu chaud !

Cette nuit, le blog a pris feu. Fort heureusement, les pompiers sont venus assez rapidement, merci quand même à google-images -> "La solution de recherche d'images de pompiers la plus complète du Web" sans qui - ze dois dire- nous aurions été bien dans la m... Une enquête a été ouverte mais il s'agit probablement d'un internaute qui s'est endormi à la lecture d'un post, la clop au bec ! J'ai pris une photo, mais je doute que Groupablog me rembourse quoique ce soit...on verra bien. Je demanderai désormais à tout visiteur de ce blog d'éteindre sa cigarette et ce, dès l'affichage de la page d'accueil !

Merci.


vendredi 24 octobre 2008

Cher Nothing in Lemon



(Ne cherchez pas.. c'est entre nous)

c'est un admirateur, et oui ! un de plus, ...pffff mumm




puis y m'a offert un beau bouquet de fleurs, avec des fleurs dedans ! na!




Citation

"Le mari de ma voisine ne peut être autre qu'il n'est".






dimanche 19 octobre 2008

Même pas PPR


je me dois quand même de rassurer tous mes admirateurs surtout P. et aussi R. et L., N. , également A. et sans oublier O. et E. qui ne dorment plus et ne mangent plus depuis plusieurs semaines, je le sais.



je suis toujours là (en fait, ze réfléchi ....)


zygomatine n'outrepassera pas comme ça !

vendredi 22 août 2008

Un zour...PPR

Quelque fois je pense à la mort ....


Un jour je ne serai plus. Pouf Plus Rien, PPR !


Regardez... ARGH c'est horrible NON ne regardez pas, c'est insoutenable

vendredi 6 juin 2008

4 petites minutes de bonheur total

Je ne sais pas si "Dieu" existe mais le Divin, l'Incommensurable, "Ce qui ne peut pas être nommé"... Oui, sans aucun doute ! Accepteriez vous de vous laisser toucher par ça ? de vous laisser traverser par ça ? de faire juste un essai ... de 4 petites minutes.. Hé ! dans toute une vie, ce n'est pas grand chose... Merci à Jean Tubéry - le chef d'orchestre - et aux solistes du Choeur de Chambre de Namur pour cette interprétation magnifique du Canon de Pachelbel.


dimanche 18 mai 2008

vendredi 18 avril 2008

lundi 14 avril 2008

Jeu de l'égo

suite au prochain numéro

dimanche 13 avril 2008

Back To Black



vendredi 11 avril 2008

Et à part ça ... vous avez un blog, vous ?

Blague cuisinée aux petits zoignons




(excusez moi... si si, vraiment, je suis désolée)

jeudi 10 avril 2008

Pas de titre

pas de message




mercredi 9 avril 2008

Disons simplement que le cheval n'est pas dans l'écurie

J'aime beaucoup cette histoire, datant (paraît-il car je n'y étais pas) du temps de Lao Tseu :

Il y avait dans un village un vieil homme très pauvre, que les rois eux-mêmes jalousaient car il possédait un magnifique cheval blanc. Ils lui proposaient des sommes fabuleuses pour ce cheval, mais l'homme refusait systématiquement :
" Ce cheval n'est pas un cheval pour moi, disait-il, c'est une personne. Et comment pouvez-vous vendre une personne, un ami ? "

Il était pauvre, mais jamais il ne vendit son beau cheval.
Un matin, il s'aperçut que le cheval n'était plus dans son écurie. Tous les villageois se rassemblèrent et s'exclamèrent :

" Pauvre fou de vieillard ! Nous savions qu'un jour ce cheval serait volé. Il aurait mieux valu le vendre. Quel malheur ! "

Le vieillard répondit :

" N'allez pas si loin. Dites simplement que le cheval n'est pas dans l'écurie. Ceci est un fait, tout le reste est un jugement. Je ne sais si c'est un malheur ou une bénédiction, car ce n'est qu'un fragment. Qui sait ce qui va suivre ? "

Les gens se moquèrent de lui. Ils avaient toujours pensé qu'il était un peu fou. Mais quinze jours après, une nuit, le cheval revint. Il n'avait pas été volé, il s'était simplement échappé. Il ramenait avec lui une douzaine de chevaux sauvages !

Les gens s'assemblèrent à nouveau :

" Vieil homme, tu avais raison, dirent-ils, ce n'était pas un malheur. En réalité, cela s'est avéré être une bénédiction. "

Le vieillard répondit :

" De nouveau, vous allez trop loin. Dites simplement que le cheval est de retour. Qui sait si c'est une bénédiction ou non ? Ce n'est qu'un fragment. Vous lisez un seul mot dans une phrase - comment pouvez-vous juger du livre tout entier ? "

Cette fois, ils ne purent ajouter grand-chose, mais en eux-mêmes ils savaient qu'il avait tort. Douze magnifiques chevaux étaient arrivés !...

Le vieil homme avait un fils unique qui commença à dresser les chevaux sauvages. Une semaine tout juste après, il tomba de cheval et se brisa les jambes.
A nouveau les gens se réunirent et, à nouveau, ils jugèrent.

" Tu avais encore raison, c'était un malheur ! dirent-ils. Ton fils unique a perdu l'usage de ses jambes, et il était le seul soutien de ta vieillesse. Maintenant, te voilà plus pauvre que jamais. "

" Vous êtes obsédés par le jugement, répondit le vieil homme. N'allez pas si loin. Dites seulement que mon fils s'est brisé les jambes. Personne ne sait si c'est un malheur ou une bénédiction. La vie vient par fragments et vous ne pouvez tout connaître à l'avance. "

Quelques semaines plus tard, il advint que le pays entra en guerre et tous les jeunes gens de la ville furent réquisitionnés de force par l'armée. Seul le fils du vieil homme ne fut pas pris, car il était infirme. La ville entière se lamentait et pleurait : c'était une guerre perdue d'avance et tous savaient que la plupart des jeunes gens ne reviendraient jamais. Ils se rendirent auprès du vieil homme :

" Tu avais raison, reconnurent-ils, cet accident s'est avéré être une bénédiction pour toi. Il se peut que ton fils soit infirme, mais il est encore avec toi. Nos fils, eux, sont partis pour toujours. "

Le vieil homme dit encore :

" Vous continuez à juger sans cesse. Personne ne sait ! Bornez-vous à dire que vos fils ont été contraints d'entrer à l'armée et que mon fils ne l'a pas été. Seul Dieu, le Tout, sait s'il s'agit d'une bénédiction ou d'un malheur."

mardi 8 avril 2008

Post en passant